Oups...
J'ai un peu déserté. Motif : morosité ambiante... Entre la pluie qui nous a copieusement assaisonnés durant 10 jours - phénomène tout à fait curieux sous nos latitudes -, des gluons sous tension, en conséquence immédiate du premier emmerdement, l'électricité qui tend nos trois petits villages en raison du prochain démantèlement de notre RPI, mes instits préférées - d'ordinaire si douces, si rassurantes - déprimées, en conséquence immédiate du troisième emmerdement, et, pour finir, la noyade de notre école et de notre service public dans l'indifférence (presque) générale... Bref, j'avais les idées noires... J'ai roumégué à me demander si ça valait vraiment le coup de le passer, ce concours, vu que les rares postes dispos seront pris par les Rased sédentarisés, voire par les instits de TPS-PS... On me dit de ne pas y penser, ben si, c'est quand même notre avenir qui se profile, en dehors du fait que les premières victimes seront nos propres enfants...
Bref, j'ai repris le dessus, non pas que je sois subitement devenue méga-optimiste quant au riant avenir de l'Education Nationale, mais tout simplement parce que je veux passer une dernière fois ce foutu concours et donc, m'en donner les moyens.
Le résumé de la semaine post-rentrée est donc succinct : 1 course (8 km en 45 min), la lecture encore en cours du Précis de pédagogie de Nathan (vraiment très bien), la lecture de L"Histoire pour les nuls que l'on m'a prêté mais j'ai arrêté, faut que j'arrête de me leurrer, ce n'est pas en lisant 5 bouquins d'histoire différents que ça rentrera mieux. Il faut que je fasse un vrai effort de mémoire, point. J'attends ma note de maths qui ne devrait pas tarder. Et je réponds ce soir aux 2 questions d'histoire de LD !
C'est reparti.
Filou, je te réponds...